« Tu as mis chaque homme à sa place.
Tu les as faits différents en forme et en langue, et par la couleur de leur peau.
En diviseur, tu as séparé les peuples étrangers. »
—Akhenaton 1
« De la corruption des femmes vient la confusion des castes ;
de la confusion des castes vient la perte de la mémoire ;
de la perte de la mémoire vient le manque de discernement ;
et de celui-ci viennent tous les maux. »
—Bhagavad-Gita 2
“Alle großen Kulturen der Vergangenheit gingen nur zugrunde, weil
die ursprünglich schöpferische Rasse an Blutvergiftung abstarb.”
—Adolf Hitler 3
Un Mouvement comme le national-socialisme, destiné à séduire des millions de gens, n’attire pas tous ses adhérents pour les mêmes raisons. Cela importe peu, tant que le Mouvement est triomphant. Plus il en gagne, mieux c’est. Même l’homme qui rejoint le Parti pour des avantages matériels qu’il espère en tirer, peut avoir une utilité. Et ses enfants, en tous cas – à condition qu’ils soient de sang irréprochable – pourront devenir de meilleurs nazis que lui-même.
Tu les as faits différents en forme et en langue, et par la couleur de leur peau.
En diviseur, tu as séparé les peuples étrangers. »
—Akhenaton 1
« De la corruption des femmes vient la confusion des castes ;
de la confusion des castes vient la perte de la mémoire ;
de la perte de la mémoire vient le manque de discernement ;
et de celui-ci viennent tous les maux. »
—Bhagavad-Gita 2
“Alle großen Kulturen der Vergangenheit gingen nur zugrunde, weil
die ursprünglich schöpferische Rasse an Blutvergiftung abstarb.”
—Adolf Hitler 3
Un Mouvement comme le national-socialisme, destiné à séduire des millions de gens, n’attire pas tous ses adhérents pour les mêmes raisons. Cela importe peu, tant que le Mouvement est triomphant. Plus il en gagne, mieux c’est. Même l’homme qui rejoint le Parti pour des avantages matériels qu’il espère en tirer, peut avoir une utilité. Et ses enfants, en tous cas – à condition qu’ils soient de sang irréprochable – pourront devenir de meilleurs nazis que lui-même.
Mais de ceux-là seulement qui
défendent l’Idée nationale-socialiste comme quelque chose de vital et
de fondamental – de ceux-là seulement qui trouvent en elle l’expression
parfaite de leur propre philosophie de la vie –, de ceux-là seulement
on peut attendre qu’ils y adhèrent en toutes circonstances. Je ne dis
pas qu’ils sont les seuls à pouvoir y adhérer. Le sens du devoir, un
sentiment chevaleresque d’obligation envers leur passé glorieux, un
sentiment de gratitude envers un régime qui leur donna de grands
privilèges tant qu’il dura, peuvent bien sûr pousser des milliers
d’autres à rester fidèles au milieu d’épreuves indiscibles. Et ces
milliers sont dignes d’éloges. Cependant, aucune allégeance n’est aussi
précieuse que celle qui est basée sur l’impossibilité physique de se
trahir soi-même. « On ne peut pas tuer une Weltanschauung – une vision du monde, une philosophie – par la force, mais seulement par l’impact agressif d’une autre Weltanschauung » 4.
Ce sont les paroles mêmes du Fondateur du national-socialisme. Et
comme elles sonnent vrai aujourd’hui, après vingt-cinq ans ! Les vrais
nazis – ceux qui peuvent résister et vaincre, finalement, les forces
coalisées d’un monde temporairement triomphant – sont ceux pour
lesquels non seulement le coté politique du national-socialisme, mais
aussi la conception nationale-socialiste de l’homme et de la vie, sont
si naturels qu’aucune autre « Weltanschauung » ne pourrait
jamais les séduire, aussi habilement vantée soit-elle, par des gens qui
prétendent connaître l’art de la publicité à la perfection.
ᛉᛉᛉᛉᛉ
La conception nationale-socialiste de
l’homme et de la vie est tout sauf « nouvelle ». Ses premiers
représentants sur cette terre furent probablement les plus anciens
voyants de l’humanité, et les principes sur lesquels elle est basée
sont aussi anciens que la vie elle-même. Seul le mouvement
national-socialiste est nouveau. Pas seulement nouveau, mais unique en
son genre. Il est, dans toute l’évolution de l’Occident, la seule
tentative systématique de bâtir un Etat – non, d’organiser un continent
– sur la franche reconnaissance des lois éternelles qui gouvernent la
croissance des races et la création de la culture ; le seul effort
rationnel pour mettre un terme au déclin d’une race supérieure et à
la confusion consécutive. Il est le mouvement « contre le Temps » par
excellence – le mouvement contre la tendance descendante séculaire de
l’histoire –, connaissant la seule voie pour sortir des maux et de la
laideur de notre époque dégénérée et pour revenir à la joie et à la
gloire de tout grand commencement, et poussant hardiment sur cette voie
les individus les plus nobles de l’Occident.
Mais précisément, pour apprécier toute
sa nouveauté, et toute sa beauté, il faut avoir à l’esprit l’éternité
de la philosophie qui se trouve derrière lui ; de ce que j’appelle la
philosophie du Svastika.
Celle-ci n’est pas la philosophie de
tous les hommes. Elle est, dans la claire conscience des vrais Grands
qui sont capables de la percevoir – des plus anciens législateurs
aryens de l’Inde védique et post-védique jusqu’à Adolf Hitler
aujourd’hui –, la sagesse du Cosmos, la philosophie du Soleil, Père et
Mère de la Terre.
Car l’homme n’est qu’une partie du cosmos – « un produit solaire », comme l’a dit un brillant auteur anglais ! 5.
Il ne peut pas impunément instaurer des lois pour lui-même, contre ces
lois non-écrites, éternelles, qui gouvernent la vie dans son ensemble.
En particulier, il ne peut pas négliger les lois qui régissent l’art de
la reproduction et l’évolution des races, et espérer échapper aux
conséquences qui suivront automatiquement, tôt ou tard, ce « péché
contre la volonté du Créateur » 6 et qui sont la « dégénérescence physique et morale ».
La philosophie chrétienne – non, la
philosophie de toutes ces religions internationales dont « toute
personne » peut devenir adhérente, sur un plan d’égalité avec tous les
autres adhérents – met l’accent sur l’esprit, l’« âme », le coté
« immatériel » de l’homme (supposé être éternel et précieux à
l’extrême) aux dépens de cette chose transitoire : le corps. Elle
oublie que, étant le seul véhicule de transmission de la vie, le corps
fait aussi partie de l’éternité divine ; qu’il n’est pas seulement le
« temple du Saint Esprit », mais aussi le créateur de cette conscience
qui est le Saint Esprit, dans la descendance de l’individu, dans la race en général.
Les plus anciennes religions du monde –
aucune d’elles n’était « internationale », mais toutes appliquaient au
peuple au milieu duquel elles avaient surgi la seule sagesse
supra-humaine – soulignaient l’importance essentielle du coté physique
de l’homme ; le caractère sacré de l’acte de vie ; les devoirs et les
responsabilités du corps, non seulement envers l’« âme » individuelle
dont il peut être considéré comme un instrument de développement, mais
aussi envers les générations passées et futures ; envers la race,
c’est-à-dire envers le Cosmos, dont la race fait partie. Ils
entretenaient le culte privé des ancêtres pour chaque individu et le
culte public des héros pour chaque peuple, et interdisaient les
mariages contestables comme étant un péché contre les morts et les
pas-encore-nés – contre la Vie éternelle. Ils reconnaissaient comme
allant de soi l’inégalité fondamentale des êtres humains, venant de
causes impondérables, l’inégalité des races humaines, et la
différenciation absolue des sexes.
Nous n’avons pas copié les Anciens.
Aucune chose vivante n’est jamais une « copie ». Et justement le
mouvement national-socialiste est vivant ; non, il est, en dépit du
triomphe temporaire de ses ennemis, la seule véritable force de vie et
de renaissance dans le monde moribond d’aujourd’hui. Non, nous n’avons
pas copié les Anciens. Mais sous l’inspiration de ce dieu parmi les
hommes – Adolf Hitler –, nous avons repris conscience de la sagesse
éternelle sans laquelle la vie est condamnée à décliner ; de la sagesse
dont l’oubli graduel, depuis l’aube de l’histoire, doit être considéré
comme l’origine de la dégénérescence croissante de l’humanité et, en
particulier, du déclin des nations aryennes. Nous avons repris
conscience du fait que « Dieu réside seulement dans le sang pur » 7.
Et de la religion créée par l’homme et de la moralité centrée sur
l’homme qui ont dominé la conscience occidentale depuis au moins mille
cinq-cent ans, nous sommes revenus à une attitude religieuse centrée
sur la vie, à une moralité basée sur l’inégalité des droits et la
diversité des devoirs parmi les individus tout comme parmi les races,
et à une conception politique proclamant le droit et le devoir des
races supérieures – et des personnalités supérieures dans chaque race –
de diriger. Et nous avons entrepris de faire de ce monde un endroit sûr
d’abord pour les meilleurs – pour l’élite raciale de l’humanité – et
ensuite pour tous les êtres vivants, sous la protection des meilleurs.
ᛉᛉᛉᛉᛉ
C’est tellement vrai que les représentants intelligents et orthodoxes de la seule partie du monde dans laquelle la tradition aristocratique des Aryens, même fossilisée au cours des siècles, ne fut jamais submergée – l’Inde hindoue –, ont souvent porté sur le national-socialisme un jugement plus sûr que la plupart des Européens en-dehors de l’Allemagne. Beaucoup de nationaux-socialistes allemands seraient stupéfaits d’apprendre avec quel enthousiasme furent accueillies les victoires du Führer dans ce pays lointain durant la dernière guerre. Sans doute cet enthousiasme était-il dû en grande partie à l’hostilité contre la domination britannique. Mais il y avait aussi quelque chose d’autre, quelque chose de plus profond, de beaucoup plus profond. Il y avait l’expression de six mille ans d’allégeance inébranlable à la Race belle, forte et vraiment supérieure, les Aryens ou « nobles », adorateurs du Soleil et des Aurores Boréales, qui apportèrent jadis les Védas depuis leur patrie arctique abandonnée depuis longtemps8 et qui fondèrent la civilisation qui, dans l’Inde d’aujourd’hui, porte encore leur marque ; la reconnaissance du fait que l’esprit de ces anciens et saints Aryens s’était finalement réveillé dans leurs descendants modernes les plus authentiques, dans la lointaine Europe, et qu’il était en train de triompher.
C’est tellement vrai que les représentants intelligents et orthodoxes de la seule partie du monde dans laquelle la tradition aristocratique des Aryens, même fossilisée au cours des siècles, ne fut jamais submergée – l’Inde hindoue –, ont souvent porté sur le national-socialisme un jugement plus sûr que la plupart des Européens en-dehors de l’Allemagne. Beaucoup de nationaux-socialistes allemands seraient stupéfaits d’apprendre avec quel enthousiasme furent accueillies les victoires du Führer dans ce pays lointain durant la dernière guerre. Sans doute cet enthousiasme était-il dû en grande partie à l’hostilité contre la domination britannique. Mais il y avait aussi quelque chose d’autre, quelque chose de plus profond, de beaucoup plus profond. Il y avait l’expression de six mille ans d’allégeance inébranlable à la Race belle, forte et vraiment supérieure, les Aryens ou « nobles », adorateurs du Soleil et des Aurores Boréales, qui apportèrent jadis les Védas depuis leur patrie arctique abandonnée depuis longtemps8 et qui fondèrent la civilisation qui, dans l’Inde d’aujourd’hui, porte encore leur marque ; la reconnaissance du fait que l’esprit de ces anciens et saints Aryens s’était finalement réveillé dans leurs descendants modernes les plus authentiques, dans la lointaine Europe, et qu’il était en train de triompher.
L’Inde ne serait bientôt plus « le
dernier bastion de la culture aryenne », comme l’avaient appelée
certains revivalistes hindous. Car la culture aryenne allait
reconquérir l’Europe sous la direction de l’un de ces hommes qui
n’apparaissent qu’une fois dans l’histoire du monde. Mais la victoire
de cet Homme – la victoire de l’Aryen sur le « Mlechha »9;
la victoire de l’idéal de la hiérarchie raciale sur l’uniformité
démocratique ; de l’autorité inspirée sur la vanité du troupeau
obstiné – serait aussi la victoire de l’Inde, car le meilleur de la
tradition indienne était le cadeau immémorial de la race éternelle de
cet Homme. Et même si tous ne pouvaient pas exprimer cela, beaucoup le
ressentaient, plus ou moins vaguement. Déjà plus d’un hindou de haute
caste, conscient de la nature réelle du conflit européen – pas entre
l’Allemagne et l’Angleterre, mais entre le national-socialisme et
toutes les formes de démocratie ; entre la vraie vision aryenne et la
juive ; déjà plus d’un, dis-je, avait acclamé dans le promoteur de la
résurrection occidentale, Adolf Hitler, un « devata », c’est-à-dire un
« brillant », un être au-dessus de l’humanité, et l’incarnation moderne
du Sauveur qui revient toujours. J’ai même entendu certains d’entre eux
le dire en public.
Mais de la conscience confuse des
masses illettrées de l’Inde surgissaient aussi, ces jours-ci, des
intuitions remarquables. Je me souviendrai toujours d’un jeune
serviteur – un garçon d’environ quinze ans – me disant, durant la
glorieuse année 1940 : « Moi aussi, j’admire votre Führer ». Et comme
je lui demandais si ce n’était pas seulement parce que celui-ci était
victorieux, le garçon répondit : « Oh non ! Je l’admire et je l’aime,
parce qu’il combat pour remplacer la Bible par la Bhagavad-Gita en
Occident ». Il avait entendu cette information extraordinaire dans une
conversation sur le marché aux poissons de Calcutta. Je fus sidérée.
Car cette information, bien que fantaisiste dans sa lettre, était
parfaitement exacte dans son esprit10.
Et je me rappelai en un éclair les
paroles de l’ancienne Ecriture sanscrite, la Bhagavad-Gîta : « De la
corruption des femmes vient la confusion des castes ; de la confusion
des castes vient la perte de la mémoire ; de la perte de la mémoire
vient le manque de discernement ; et de celui-ci, tous les maux ». Ou,
en langage moderne : de la reproduction indiscriminée vient le mélange
des races inégales (toujours au détriment de la race supérieure) ; de
ce mélange vient la perte de la mémoire raciale – l’ignorance de ses
propres ancêtres et de sa propre identité – et de cela, le manque de
compréhension de ses droits et de ses devoirs – de sa place naturelle
dans le monde – et la conséquence : « tous les maux », le déclin, la
mort.
Oui, il était vrai que l’« Ordre
Nouveau en Europe » signifiait la restauration de l’attitude aryenne
exprimée dans ce texte immémorial, en opposition avec toutes les
religions et idéologies de l’égalité ; le triomphe de la Philosophie du
Svastika sur celle de la Croix, du Croissant ou de la Faucille et du
Marteau, et la fin de cette cause primordiale de « tous les maux » : la
procréation honteuse. Et c’était vrai que Adolf Hitler menait cette
guerre pour défendre cet Ordre Nouveau contre les agents de
désintégration qui avaient décidé de l’écraser. Et c’était également
vrai que, depuis des siècles, aucun grand homme d’action en Occident ou
en Orient n’avait vécu et combattu dans le désintéressement et le
détachement absolus – véritablement d’après les enseignements de la
Bhagavad-Gita – comme il l’avait fait. Le miracle est que quelqu’un de
simple, si loin d’ici, ait trouvé une phrase si puissante pour
exprimer cette vérité.
ᛉᛉᛉᛉᛉ
L’idée centrale du national-socialisme
est que c’est seulement dans la noblesse naturelle du sang, source des
qualités inhérentes de la race, que se trouve le secret de la
grandeur. Il n’y a pas besoin de se demander pourquoi une race est plus
douée qu’une autre ; pourquoi une race a un génie créatif et d’autres
non. C’est aussi stupide que de se demander pourquoi un platane n’est
pas un chêne. Le Soleil Lui-même, responsable de toutes les différences
entre les hommes comme entre les autres espèces vivantes, a décrété
depuis l’éternité quelle devait être, sur cette planète, la race
créative par excellence. Et c’est pourquoi l’immémorial symbole solaire
– le Svastika – s’est identifié au mouvement national-socialiste.
Derrière la volonté d’Adolf Hitler, qui en décida ainsi, se trouvait la
volonté divine du Soleil.
Il est particulièrement étonnant de
voir à quel point sont historiquement saines toutes les affirmations
de Hitler concernant la supériorité des Aryens sur le monde entier, à
travers les âges –, d’autant plus qu’à l’époque où il écrivit son
célèbre livre, le Führer n’avait rien vu du monde en-dehors de
l’Allemagne (sauf les champs de bataille d’Ypres et les autres lieux où
il avait combattu comme soldat durant la Première guerre mondiale) et
n’avait jamais eu le temps d’étudier beaucoup.
Il écrivait avec son cœur. Cependant, à
l’autre extrémité de la terre, des monuments étranges, dressant leurs
lignes majestueuses au milieu des forêts de cocotiers sous des cieux
étranges ; des hymnes et des poèmes dans des langues étrangères ; des
souvenirs ataviques et des traditions sacrées de peuples étranges –
certaines étant peut-être inconnues de lui en 1923 – proclament la
vérité de ce qu’il écrivit. Des peintures et des sculptures dans les
temples de l’Inde du Sud, des danses sacrées sur la côte de Malabar ;
des frises sur les murs en ruine d’Angkor Vat ; des récits répétés
jusqu’à nos jours dans toute l’Inde, à Java, à Bali, perpétuent la
gloire du beau héros aryen Rama, dont les actions remplirent jadis
d’admiration l’Orient et le Sud, et que les descendants des races
subjuguées vénèrent encore comme un dieu. Et lorsqu’on se souvient de
l’inspiration se trouvant derrière ces œuvres d’art et ces traditions,
on ne peut que s’émerveiller de l’exactitude de ce résumé audacieux de
l’évolution de l’humanité, écrit par le champion moderne de la race
aryenne dans la forteresse de Landsberg am Lech : le onzième chapitre
de la première partie de Mein Kampf. En fait, partout où l’on
admire les vestiges tangibles d’une grande culture (à condition de
prendre la peine de retourner suffisamment loin dans le passé), on
finit par relier cette culture à la glorieuse Race créative venue du
Nord, à laquelle appartiennent les beaux guerriers exaltés dans les
épopées sanscrites (et représentés par la technique de leurs
admirateurs des tropiques sur les murs des temples dravidiens et des
palais cambodgiens), et l’auteur de Mein Kampf lui-même, et son peuple bien-aimé.
Toute l’Asie doit plus ou moins sa
culture à l’influence de la pensée indienne. Et la pensée indienne – la
pensée sanscrite – n’est rien d’autre que la fleur de l’âme aryenne,
nordique, dans un environnement tropical. Et si, comme le pensent
certains savants, on peut aussi prouver que les mêmes influences ont
donné naissance aux cultures de l’ancienne Amérique, pour lesquelles le
Svastika était également sacré – et que le même fait, c’est-à-dire
« la disparition graduelle de la race créative originelle » par le
mélange du sang, a causé leur chute –, alors on aura prouvé à quel
point l’intuition historique de Hitler était extraordinaire, et à quel
point le fondement du national-socialisme était solide comme le roc.
ᛉᛉᛉᛉᛉ
Certains ont dit que la grandeur
d’Adolf Hitler réside dans le fait d’avoir soulevé le patriotisme
allemand comme nul ne l’avait fait avant lui. Ceux qui haïssent
l’Allemagne – ceux qui ont, ou pensent qu’ils ont, quelque intérêt à
tenter de la maintenir à genoux – le haïssent pour cette raison même.
Mais en réalité sa grandeur réside dans quelque chose de bien plus
grand. Car le patriotisme allemand qu’il souleva n’est pas le
patriotisme conventionnel que tout enfant européen apprend à l’école
depuis qu’il existe des Etats séparés en Europe. C’est un aspect
particulier d’un sentiment plus large et plus profond – et plus
naturel. C’est l’expression, dans le peuple allemand – le premier à
avoir eu le privilège de la retrouver, en Occident –, de la conscience
aryenne à l’échelle mondiale, qui est au-dessus des frontières ; de la
fierté collective de tous ceux qui, si loin qu’ils puissent vivre par
rapport à leur patrie nordique d’origine, clament leur appartenance à
cette race vraiment noble et belle à laquelle le monde doit le meilleur
de sa culture.
Un bouleversement qu’aucune nation
n’avait encore connu – une explosion de jeunesse triomphante
retrouvée ; un chant de joie et de liberté, par des millions de gens –
furent réellement observés en Allemagne sous le charme de la
personnalité magnétique de Hitler, et cela en dépit de plus de mille
cinq cent ans d’influences démoralisantes. Mais là ne se trouve pas la
totalité du « miracle allemand ». Il se trouve aussi – peut-être encore
plus – dans le fait que des Aryens partout dans le monde (peu, c’est
vrai, mais les meilleurs) saluèrent Hitler, et l’Allemagne avec lui,
comme le champion de leurs droits, comme l’Homme et le pays destinés à
accomplir, finalement, leurs aspirations séculaires. Il se trouve dans
le fait que, pendant cette guerre, des Anglais furent heureux de
souffrir dans des camps de concentration dans leur propre pays pour
l’idée nationale-socialiste ; que des gens de plusieurs nations
étrangères en guerre avec l’Allemagne – incluant quelques Français11,
soient morts pour elle ; que dans l’Inde lointaine, en 1942, quelques
hommes et femmes aient attendu avec joie de voir l’armée allemande
marcher à travers la Russie et l’Afghanistan et prendre le chemin
triomphal que les premiers conquérants aryens avaient pris, six mille
ans auparavant – le col de Khyber – et rencontrer à Delhi ses alliés
japonais ; que, après cette guerre, il soit resté (et reste
encore) une minorité d’Aryens non-allemands prêts à affronter la
torture et la mort pour le plaisir de défier les persécuteurs du
national-socialisme sur le sol même de l’Allemagne occupée.
Cet attrait d’Adolf Hitler à l’échelle
mondiale montre suffisamment que, bien que sa forme moderne soit
apparue en Allemagne – et n’aurait pu apparaître nulle part ailleurs –,
la doctrine nationale-socialiste transcende l’Allemagne. Comme je l’ai
dit, c’est la vérité éternelle sur les lois de la vie et de
l’évolution des races humaines, appréhendée depuis la perspective de la
race nordique.
Que cette race nordique soit une
aristocratie naturelle, il n’y a pas de doute. D’abord une aristocratie
physique. Pour s’en assurer, il suffit de regarder ses représentants,
en particulier les types germaniques les plus purs parmi les Allemands
et les Suédois, extérieurement, peut-être, les plus beaux humains sur
terre. Une aristocratie de caractère aussi, dans son ensemble. Il
suffit de vivre avec des Scandinaves, des Allemands, ou de véritables
Anglais, après avoir passé des années parmi des Aryens moins purs, ou
des races totalement différentes, pour le constater. Une aristocratie
de gentillesse, aussi – son signe extérieur de supériorité le plus
attrayant. Et c’est un fait. La meilleure preuve de cela doit
être vue dans la sympathie spontanée que la plupart des enfants de pur
sang nordique manifestent envers les animaux, avant même qu’on leur ait
appris à le faire. Comparez cela avec la cruauté spontanée des enfants
des autres races, à quelques exceptions près ! Un enfant allemand ou
anglais de cinq ans s’arrêtera pour caresser un chat, ou donner à
manger à un chien dans la rue. Un enfant de cinq ans des pays
méditerranéens – ou du Moyen Orient – jettera une pierre au chien,
tirera la queue du chat, ou fera quelque chose de pire, la plupart du
temps. L’indifférence des adultes envers la souffrance animale, partout
dans le monde sauf dans les quelques pays où le sang nordique prévaut
manifestement, est assez épouvantable, sans parler de la méchanceté
innée de la majorité des enfants.
Cela seul serait suffisant pour
confirmer la croyance en la supériorité du pur Aryen, et pour renforcer
l’espoir que, après trois ou quatre générations d’éducation appropriée
– et de reproduction intelligente –, la race pourrait être transformée
en une race de surhommes, créateurs de la culture d’un nouvel Age
d’Or, digne des rêves de Nietzsche, digne de l’amour de Hitler. Cela
serait suffisant pour confirmer la conviction que la tâche que
l’Allemagne nationale-socialiste avait entreprise – le renforcement
systématique de la race des maîtres en Europe afin qu’elle puisse
diriger une super-civilisation sans égale – était, et est encore, digne
d’être menée à bien.
ᛉᛉᛉᛉᛉ
Cette tâche fut commencée en
Allemagne, comme chacun sait, par la promulgation d’un certain nombre
de lois saines, destinées à empêcher toutes les unions contestables (et
ainsi à empêcher la détérioration physique et morale de la race), et
par une nouvelle éducation à grande échelle. Lorsqu’on se rappelle que
Adolf Hitler prit le gouvernement en main en 1933, et que l’Angleterre,
en instrument docile de la juiverie internationale, lui déclara la
guerre en 1939, on ne peut que s’émerveiller de l’immensité de ce qu’il
accomplit en six ans. Aucun dieu n’aurait pu faire mieux en un temps
aussi court.
Cependant, les mesures prises
n’auraient pas été suffisantes pour maintenir le peuple sur le chemin
désiré pendant des siècles, sans une nouvelle – ou très ancienne –
vision religieuse, expression de l’âme nordique régénérée, naissant et
grandissant aux cotés de l’Etat national. Les hommes les plus
importants du Mouvement – Adolf Hitler plus que tout autre – étaient
conscients de cela. Et non seulement des théoriciens comme Alfred
Rosenberg12, et des professeurs de la nouvelle pensée comme Ernst Bergmann13 et d’autres, mais aussi des penseurs froids et à l’esprit pratique comme le Dr. Goebbels14,
ont maintes fois souligné la nécessité de mettre fin à l’influence des
Eglises chrétiennes de toutes confessions si le national-socialisme
voulait connaître un triomphe durable.
En effet, le fait que, à cause de la
guerre contre les agents étrangers de la juiverie, on ne put pas prêter
suffisamment d’attention au combat contre les Eglises et en
particulier contre l’Eglise catholique – le plus acharné de tous les
adversaires intérieurs du national-socialisme – ce fait, dis-je, doit
être considéré comme l’une des causes principales de la perte de la
guerre. Les Eglises ont trop bien montré, par leur attitude après la
guerre envers le national-socialisme vaincu, quelle responsabilité
elles avaient dans sa défaite et quel pouvoir elles espéraient obtenir
sur ses ruines.
Mais il y a quelque chose de plus dans
l’aversion instinctive que nous ressentons tous pour elles, dans la
mesure où nous sommes conscients de ce que nous représentons. Les
Eglises, en tant qu’institutions temporelles, avec des intérêts
économiques et des désirs de puissance, sont suffisamment mauvaises. La
« Weltanschauung » chrétienne elle-même est une ennemie bien
pire du national-socialisme. Il ne sert à rien de dissimuler ce fait
pour « ne pas effrayer » les gens : on ne peut pas être en
même temps un nazi et un chrétien d’une confession quelconque. C’est
une absurdité d’affirmer qu’on le peut. Ce serait une perte de temps de
citer des exemples concrets d’hommes et de femmes qui le seraient
réellement. De telles personnes sont soit de mauvais chrétiens, soit de
mauvais nazis, ou les deux ; des gens sincères mais illogiques se
trompant eux-mêmes, ou des vauriens habiles tentant de tromper les
autres.
Il suffit de réfléchir cinq minutes
pour comprendre qu’une doctrine centrée sur la race et la personnalité
ne peut pas aller de pair avec une doctrine qui proclame que toutes les
âmes humaines sont également précieuses aux yeux d’un Dieu qui hait la
fierté. Les Eglises envisageraient peut-être, un jour, la possibilité
de faire un compromis avec nous si elles le jugeaient opportun. Mais il
ne peut y avoir aucun compromis entre le christianisme – ou toute
autre religion de l’égalité centrée sur l’homme – et la Philosophie du
Svastika. Si nous devons triompher finalement, alors le christianisme
doit s’effacer – que cela plaise ou non à ceux de nos amis qui portent
encore en eux l’empreinte d’une éducation chrétienne. Le christianisme
doit s’effacer pour que l’âme nordique, qui est écrasée depuis plus d’un
millier d’années, puisse vivre et s’épanouir à nouveau dans la force
et la fierté de sa jeunesse retrouvée ; pour que l’Allemagne et tous
les pays dans lesquels le sang aryen est encore vivant puissent
développer leur propre conscience religieuse – la conscience qu’ils auraient eue si Rome et Jérusalem ne s’étaient pas mêlées de leurs affaires.
La religion des Aryens régénérés doit
naturellement avoir beaucoup en commun avec celle de l’Europe nordique
préchrétienne, et avec celle, d’origine et d’esprit similaire,
conservée en vie jusqu’à ce jour, en Inde, dans la tradition des Védas.
Elle doit être, avant tout, la religion de gens sains, fiers et
confiants, habitués à combattre, prêts à mourir, mais en même temps
heureux de vivre, et sûrs de vivre pour toujours dans leur race
immortelle ; une religion centrée sur le culte de la Vie et de la
Lumière – sur le culte des héros, le culte des ancêtres, et le culte du
Soleil, source de toute joie et de puissance sur terre. En effet, elle
doit être une religion de la joie et de puissance – et aussi d’amour ;
pas de cet amour morbide pour l’« humanité » souffreteuse et
pécheresse, aux dépens de la Nature bien plus admirable, mais de
l’amour pour toute la beauté vivante : pour les forêts et pour les
animaux ; pour les enfants sains ; pour nos camarades fidèles dans tous
les domaines d’activité ; pour nos chefs et nos dieux ; et par-dessus
tout, pour le Dieu suprême, la Force de Vie personnifiée dans le
Soleil, la « Chaleur et la Lumière dans le Disque », pour citer les
paroles expressives du plus grand adorateur du Soleil dans l’Antiquité 15.
La religion des Aryens régénérés doit être une religion dans laquelle
l’idée chrétienne de « conception dans le péché » fasse place à celle
de la conception dans l’honneur et la joie à l’intérieur de la race
noble, le seul « péché » étant (avec toutes les formes de lâcheté et
d’infidélité) le péché de la procréation honteuse – le péché mortel
contre la race.
Le conflit entre le
national-socialisme et les Eglises chrétiennes à notre époque n’est
qu’un aspect du combat séculaire entre les croyances de la Vie qui
acceptent la hiérarchie naturelle des races humaines – et des individus –
non moins que des espèces animales, et qui traitent l’homme comme une
partie de la Nature vivante, et les croyances anthropocentrées
d’aujourd’hui qui nient les irréductibles différences de qualité entre
les races humaines tout en postulant, d’autre part, un abysse
artificiel entre l’« humanité » dans son ensemble et le reste de la
création. La croyance anthropocentrée par excellence d’aujourd’hui – le
communisme – n’est que le résultat naturel et logique de la démocratie
occidentale basée sur la « voix de la majorité », comme Adolf Hitler
l’a lui-même souligné à de nombreuses reprises. Mais la démocratie
occidentale, à son tour, n’est que le résultat naturel et logique de
siècles d’enseignement chrétien. Toutes les fadaises sentimentales de
Rousseau et les absurdités ultérieures concernant les « droits égaux »
de tous les êtres humains, auxquelles la Révolution française doit
son prestige à l’intérieur et à l’étranger, auraient été impensables
dans une Europe païenne qui serait restée depuis le début
non-contaminée par la fadaise juive originelle des droits égaux pour
toutes les âmes humaines et de la conséquente « dignité de tous les
hommes » aux yeux d’un Dieu aimant l’homme.
Ceux d’entre nous qui comprennent
pleinement cela, et pour qui ce que j’ai appelé la Philosophie du
Svastika – expression de leurs aspirations les plus profondes – est la
seule satisfaisante, peuvent affronter avec sérénité les épreuves
présentes et à venir. Aucune propagande démocratique, humanitaire ou
chrétienne, qu’elle soit ouverte ou masquée, ne peut les
troubler. Ils forment cette minorité élue des véritables nazis autour
desquels, un jour – après l’effondrement à venir – les derniers restes
de la race aryenne intrépide se rassembleront pour commencer un nouveau
cycle historique, sous l’inspiration immortelle d’Adolf Hitler.
1 Grand Hymne au Soleil, vers 1400 av. J.C.
2 Bhagavad-Gita, 1 : 41-42 ; basé sur la traduction française d’Eugène Burnouf au XIXe siècle. (NDE)
3
« Toutes les grandes cultures du passé ont disparu parce que la race
créative d’origine a péri par l’empoisonnement du sang. » (Mein Kampf, vol. I, chap. 11, p ; 316 ; cf. Mannheim, p. 289.)
4 C’est une paraphrase des idées exprimées dans Mein Kampf, I, chap. 5, pp. 186-89, Mannheim, pp. 170-72. (NDE)
5 Norman Douglas, How about Europe? Some Footnotes on East and West (London: Chatto and Windus, 1930).
6 Mein Kampf, vol. I, chap. 11, p. 314 ; cf. Mannheim, p. 286.
7 Wulf Sörensen, Die Stimme der Ahnen [La voix des ancêtres], (Magdeburg: Nordland, 1936), p. 36.
8 Lokamanya Bal Gangadhar Tilak, The Arctic Home in the Vedas [Origine arctique des Védas] (Poona: Kesari, 1903).
9 Le mot utilisé dans les anciennes Ecritures sanscrites pour désigner les races inférieures.
10 Pour un récit plus complet de cette histoire, voir Savitri Devi, « Hitlerism and the Hindu World », The National Socialist, N° 2 (automne 1980) : 18-20. (NDE)
11 Comme Robert Brasillach, fusillé le 6 février 1945.
12 Auteur du célèbre Mythe du vingtième siècle (Der Mythus des 20. Jahrhunderts, Munich : Hoheneichen, 1930).
13 Professeur à l’Université de Leipzig sous le régime national-socialiste, auteur de Die 25 Thesen der deutschen Religion.
14 Voir les nombreux passages des Carnets de Goebbels attaquant les Eglises.
15 Le Roi d’Egypte Akhenaton, vers 1.400 av. J.C.
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