mardi 1 décembre 2020

La Maison de la Troupe SS n° 4, Notre Vie! - 1939

V
ivre signifie lutter.
Nous sommes confrontés à ce principe de façon inexorable et dure ; comme un ordre militaire, bref et concis, auquel personne ne peut se soustraire. Soit on accepte cet ordre, s'améliorant à travers lui jusqu'à accomplir ce qu'il y a de mieux, soit on déserte —on périt— de façon infâme et pitoyable. Il n'existe pas d'autre chemin.
  

Vivre signifie lutter.
Cet ordre que la Providence nous a donné, différencie le seigneur de l'esclave, le héros du lâche, l'homme d'action du bavard, le caractère de la faiblesse — définit le bon et le mauvais, le juste et l' injuste, et nous permet de mesurer notre travail quotidien. Il y a toujours eu dans l'histoire des époques où l'on a cru pouvoir se soustraire à ce commandement ; où l'on se berçait de la supposition que le combat est une abomination et que la vie est un état pacifique perpétuel ; où l'on tentait de transférer le combat de ce monde dans un autre ; où l'on mesurait le bien au degré de bassesse, de lâcheté, de servilité et le mal au degré d'acte héroïque ; où la trahison et le mensonge furent prônés de toutes les manières comme moyens de pression face au combat. Et à nouveau, il y eut des époques où l'esprit héroïque célébrait son plus grand triomphe ; où la force créatrice indiquait de nouveaux buts et de nouveaux chemins aux hommes ; où le combat eut le retentissement le plus extrême du fait de la force originelle de la volonté de vivre, et où l 'homme, avec sa force divine, redonna son sens propre à la vie. Nous nous trouvons dans cette époque d'énergies rassemblées, d'esprit combattif et créateur, et de volonté inouïe de vivre. Nous approuvons la vie parce que nous aimons la lutte et nous approuvons la lutte parce que nous aimons la vie. La vie n'est pas pour nous une vallée de larmes au-dessus de laquelle se tiennent des dieux inconnus qui se réjouissent de nous voir ramper à genoux remplis d'humilité.
Pour nous, la vie est un champ de bataille que la Providence nous a donné et que nous voulons conquérir en luttant. Notre prière est le combat, et notre vie est la prière. La Providence nous a donné la vie dans le combat et nous voulons dominer la vie en luttant. Nous combattons et nous sommes un maillon fort dans la chaîne constituée par nos ancêtres et nos descendants. A travers nous, la vie des temps les plus reculés doit être transmise dans la lutte, à l'avenir. C'est ainsi que le veut la Providence — c'est ainsi que nous le voulons. La volonté de la Providence et la nôtre formeront l'époque d'aujourd'hui, de demain, et d'après demain, comme elles ont créé l'époque d' hier et d' avant-hier.

V
ivre signifie combattre.

Durant des siècles de combats, nos ancêtres nous ont formé, ont permis à notre peuple et à nos clans de triompher de la lâcheté et de la bassesse, de la servilité et de la négation du monde jusqu'à nos jours. C'est un monument de combat héroïque et de volonté de vivre inébranlable.
Il ne resterait rien de nous, du peuple et des clans, des tribus et du sang si nos ancêtres n'avaient pas aimé le combat comme nous l'aimons. Rien n'existerait de la culture, des monuments impérissables, de la littérature, de la musique, de la peinture, de l'architecture s'ils n'avaient pas approuvé la vie et donc la lutte. Notre peuple n'aurait plus rien de la terre sacrée de l'Allemagne si des millions de nos ancêtres ne s'étaient pas risqués a lutter avec des rires victorieux pour assurer la vie de leurs descendants. Le sang et la race de notre peuple se seraient taris si nos mères ne nous avaient pas enfantés dans le combat. Notre existence —notre peuple nous donnèrent la volonté de vivre et donc de lutter.

Vivre signifie lutter !
Le combat des armées grises durant la Grande Guerre, la mort héroïque de deux millions de soldats ont seuls assuré l'aube de notre peuple. Ce ne sont pas la lâcheté et la bassesse, ni les gémissements serviles qui assurent l 'existence et la renaissance du Reich allemand. Le tir de barrage frappait les tranchées heure après heure. Les tirs des calibres lourds éclataient contre les abris dans un fracas infernal et l'attaque fut menée dans la fumée et les gaz sous le feu des mitrailleuses. Sortant du brouillard de l'aube, les chars monstrueux s'élançaient pour écraser tout ce qui se trouvait sur leur chemin. Ce n'était pas grâce à l'humilité plaintive qu'on tenait les positions, mais du fait de la volonté effrénée de vivre et du désir impérieux de vaincre dans le combat et de surmonter toutes les épreuves. Le bon camarade disparaissait des rangs et l'ami tombait en mourant. Les terreurs de la guerre menaçaient de s'imposer. Mais c'était aussi la lutte pour la vie qui, au-delà du caractère tragique et horrible des destinées, triomphait de toutes les autres motivations. Seul celui qui combat peut triompher et comprendre la félicité de la victoire ou la fin héroïque. Mais celui qui refuse le combat et donc la vie, méconnait leur esprit. II ne comprendra jamais le sentiment joyeux que la Providence dispense au combattant qui domine la vie — la capitulation est une lâcheté et Dieu n'aide que le brave. C'est ainsi que nous comprenons la grandeur supérieure du combat des soldats feldgrau durant la Grande Guerre et nous saluons les hommes qui, en persistant à combattre, ont réorienté la destinée de notre peuple. L'esprit du combat parrainait la naissance de notre nouveau monde d'idées — le national-socialisme — et fit surmonter, durant quatre ans, les terreurs de la plus grande des guerres. Seul cet esprit du combat préserve la vie de notre nation.

Vivre signifie combattre !

Sous les sifflements et les projections, l'acier se répand dans les moules. Sous les coups de marteau sonores, dans un vacarme incessant, le fer prend forme pour être utilisé par les hommes. Dans les puits sombres chargés d'air poussiéreux et sous une menace constante, le charbon est aspiré et mis à jour. Sur des échafaudages élevés, entre ciel et terre, des hommes mettent leur vie en jeu dans un travail créateur. Sur la mer en furie, la lutte avec l'élément originel devient l'expression visible de la vie. Sous un soleil brûlant, le blé levé se courbe sous la faux. Dans des hôpitaux et des laboratoires, l'esprit humain lutte avec la mort. Tout cela n'est pas l'expression d'une nécessité fataliste et superflue imprimée par des dieux étrangers, mais constitue une vie combattante, une volonté dure de sélection et de victoire. En chaque lieu est livrée une bataille décisive qui détermine la position de l'homme par rapport à Dieu. L'homme créateur conçoit sa relation avec son dieu dans le combat, dans la bataille. II ne considère pas son combat comme une honte, comme une damnation, un péché, mais il se voit comme un seigneur, démontrant de façon vivante l'ordre donné par la Providence : « Vivre signifie lutter ».
Pour lui, la sueur n'est pas le salaire de l'action pécheresse mais la récompense de sa force configuratrice et de sa joie créatrice magistrales.

Vivre signifie lutter !
Dans des milliers de rassemblements et de batailles de rue, le soldat politique appose sa marque à ses contemporains. Malgré des monceaux d'ordures, d'attaques insidieuses et la calomnie, le Mouvement parvint a la victoire. Malgré la terreur physique et spirituelle, le national-socialisme déploie aujourd'hui sa bannière victorieuse au-dessus de l'Allemagne. C'était la manifestation du courage de vivre méprisant la mort, de la joie sacrée du combat qui triomphaient de tout. C'était le courant du sang sain et ininterrompu de notre peuple qui mettait fin aux agissements d'une hypocrisie pacifiste internationale ayant les couleurs noir, rouge et or, pour libérer la route à une nouvelle génération héroïque. Et on ne peut comprendre qu'ainsi la grandeur des martyrs du Mouvement. Ils sont le symbole de la vie de notre peuple ; les fils les plus dignes des ancêtres, qui apparaissent dans le plus lointain avenir comme les prêtres vivants d'une conception et d'une civilité héroïques.

V
ivre signifie lutter !

Dans l'existence quotidienne, l'esprit mercantile s'implante comme un serpent venimeux. Le labeur du jour pèse sur le corps et  l'esprit comme un fardeau presque insurmontable. L'insanité et le manque de caractère se font concurrence. La vanité et le goût du plaisir célèbrent apparemment leur triomphe et les faiblesses humaines sont vantées. Ce n'est jamais la mentalité servile des valets qui met un terme à tout cela, mais toujours et uniquement l'homme combattant se sentant solidaire en tant que soldat sur le champ de bataille de la vie, ignorant la classe et la naissance, la richesse et la pauvreté — seulement responsable vis-à-vis de son peuple et de son sang noble, venant des ancêtres, auquel les descendants demanderont des comptes. Nous nous tenons debout au cœur du combat et devant notre dieu, sachant que toute force créatrice repose en nous, et qu'il dépend de nous de dominer la vie. Les corvées quotidiennes — les petits devoirs quotidiens — sont apparemment un fardeau mais, malgré tout, nous ne voulons pas nous en passer. Car la grandeur distinguant l'œuvre au sein de la masse, survivant aux siècles, est d'abord faite de détails. Comme le mécanisme d'horlogerie se compose de roues petites et grandes, comme seul l'ensemble des instruments compose l'orchestre et comme seul le pas cadencé de centaines d'hommes fait trembler la terre, nous avons aussi, chacun à sa place, comme des roues, comme des instruments et des marcheurs, à accomplir nos devoirs et notre combat afin que l'œuvre voit le jour. C'est l'œuvre qui révèlera la grandeur d'une génération même après des siècles et qui doit indiquer la voie aux descendants après des millénaires comme une épopée héroïque. Nous avons la volonté de nous inscrire dans l'histoire ainsi que nos actes avec des stylets d'airain. Nous avons la volonté - de mesurer nos forces a chaque moment, et à part la volonté, nous avons le pouvoir de nous dépasser, comme un mémorial d' attitude combattante. N'est-ce pas déplorable de vouloir confondre les erreurs du caractère avec une attitude effrontément servile, au lieu de les contrecarrer victorieusement dans un combat quotidien ? Ne ressent-on pas du dégoût quand des hommes aux mines de souffre-douleur mélodramatiques tentent de définir la vie comme une infamie noire parce qu'ils n'ont pas le courage de tirer la conséquence du commandement de la Providence et d'admettre le combat ? N'est-ce pas se moquer de Dieu quand, à cause de créatures plaintives, on le déclare responsable du fait qu'elles échouent dans la vie par manque d'esprit de combat ? N'est-ce pas faire preuve d'un esprit mercantile pernicieux quand, du fait de ce gémissement, elles renient la sentence de Dieu qui récompense leur désertion face à la vie que ce dernier leur confia afin qu'elles la dominent ? Nous n'avons aucune compréhension pour un tel acte stupide. Jusqu'ici, de semblables créatures n'ont jamais été des guides pour les hommes qui, comme des pierres angulaires de granit, survivent aux millénaires. Pour cette raison, nous ne voulons pas passer notre vie, que la Providence nous a donnée, dans la damnation, la contempler comme un bourbier du vice duquel personne ne s'échappe ; car notre vie n'est pas un péché puisqu' elle nous vient de Dieu, et notre combat n'est pas une damnation puisqu'il est une prière héroïque. Nous laissons les lâches et les misérables ramper à genoux, les pusillanimes gémir de désespoir ; car Dieu est avec nous parce que Dieu est avec les croyants. Nous saluons les esprits héroïques du passé lointain comme les compagnons d'armes de notre vie parce que nous savons qu'une vérité éternelle sort de la bouche de Nietzsche quand il dit : « La guerre et le courage ont accompli de plus grandes choses que l'amour du prochain. Ce n'est pas votre pitié mais votre bravoure qui, jusqu'aprésent, a sauvé les malheureux. »
Kurt Ellersieck

"Nous devons apporter une nouvelle foi plus honnête, non seulement à l'Allemagne mais au monde ; pas seulement pour le salut de l'Allemagne mais aussi pour celui du monde, qui périra d'auto-intoxication s'il ne surmonte pas son opinion actuelle sur l'Allemagne".
Adolf Hitler.

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