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lundi 23 novembre 2020
Cahier de la SS n° 3 - 1942 (Yamato par Kazuichi Miura, extrait du recueil "L'Ordre SS : Ethique et Idéologie" par Edwige Thibaut).
Yamato est le nom d'une région japonaise ayant donné naissance a de
grands soldats japonais. Le nom de Yamato est devenu le symbole de la bravoure et de l'accomplissement du devoir. On n'y trouve aucune trace de l'esprit d' un peuple étranger. Un exemple japonais nous apprend que
la bravoure et le courage ont comme fondement l' esprit religieux.
En l'an 1932 de la chronologie occidentale, un commandant en chef gravement blessé lors des combats pour Shanghai perdit connaissance et eut le malheur de tomber entre les mains de l'ennemi. II fut ensuite de nouveau libéré et ramené par les troupes japonaises qui avançaient. Un jour, on put lire dans la presse que ce commandant s'était donné la mort précisément à l 'endroit des combats durant lesquels il avait été fait prisonnier.
Que nous enseigne cet évènement ? L'officier avait été fait prisonnier uniquement parce qu'il gisait blessé et inconscient ; était-ce une honte pour un guerrier ? Pourquoi mit-il fin à sa vie au lieu de servir sa patrie grâce à ses connaissances, son expérience, son courage et son intelligence ? On ne peut expliquer son attitude que par l'esprit Yamato, l'esprit des hommes japonais.
La tradition du vaillant esprit chevaleresque est restée particulièrement vivace dans les légendes du Japon occidental ; les principes de l' éducation spirituelle du chevalier 1égendaire sont contenus dans le livre «Hagakure», une œuvre sur la morale chevaleresque dans lequel il est écrit : « Si tu dois choisir deux voies —la vie ou la mort —alors choisis la dernière. » Le commandant en chef, profondément imprégné par cet enseignement, suivit la voie de la mort. Cependant, pourquoi doit-on la rechercher ?
Il est dit dans le code chevaleresque des guerriers japonais d'aujourd'hui, le «Senjinku» ou enseignement dans le camp guerrier : « Tu ne dois pas subir le déshonneur des prisonniers ; après la mort, tu ne dois pas laisser derrière toi une mauvaise renommée de faute et de malheur. » De tout temps, on considère au Japon comme un grand déshonneur de survivre en captivité ; il est préférable de mourir.
Dans la guerre actuelle —contrairement aux temps anciens —on ne peut éviter, dans certains cas, d'être fait prisonnier ; on peut penser qu'il n'est pas absolument nécessaire de mourir dès que l'on a accompli son devoir avec les armes les plus modernes et que l'on est beaucoup plus utile à son pays en restant en vie et en accomplissant sa vocation —que ce soit dans la guerre ou dans la paix. Cette conception a son bien fondé, cependant, le soldat japonais pense autrement : S'il survit dans la honte de la captivité, cela signifie qu'il n'a pas combattu jusqu'à la mort, qu'il n'a pas eu la possibilité de poursuivre la lutte et regrette profondément de n'avoir pas combattu jusqu'à la mort pour le Tenno, la patrie et le peuple.
Que ce soit dans la mer ou l'eau baptise mon corps,
Partout et toujours, l'exemple vivant constituera la meilleure éducation.
Adolf Hitler
En l'an 1932 de la chronologie occidentale, un commandant en chef gravement blessé lors des combats pour Shanghai perdit connaissance et eut le malheur de tomber entre les mains de l'ennemi. II fut ensuite de nouveau libéré et ramené par les troupes japonaises qui avançaient. Un jour, on put lire dans la presse que ce commandant s'était donné la mort précisément à l 'endroit des combats durant lesquels il avait été fait prisonnier.
Que nous enseigne cet évènement ? L'officier avait été fait prisonnier uniquement parce qu'il gisait blessé et inconscient ; était-ce une honte pour un guerrier ? Pourquoi mit-il fin à sa vie au lieu de servir sa patrie grâce à ses connaissances, son expérience, son courage et son intelligence ? On ne peut expliquer son attitude que par l'esprit Yamato, l'esprit des hommes japonais.
La tradition du vaillant esprit chevaleresque est restée particulièrement vivace dans les légendes du Japon occidental ; les principes de l' éducation spirituelle du chevalier 1égendaire sont contenus dans le livre «Hagakure», une œuvre sur la morale chevaleresque dans lequel il est écrit : « Si tu dois choisir deux voies —la vie ou la mort —alors choisis la dernière. » Le commandant en chef, profondément imprégné par cet enseignement, suivit la voie de la mort. Cependant, pourquoi doit-on la rechercher ?
Il est dit dans le code chevaleresque des guerriers japonais d'aujourd'hui, le «Senjinku» ou enseignement dans le camp guerrier : « Tu ne dois pas subir le déshonneur des prisonniers ; après la mort, tu ne dois pas laisser derrière toi une mauvaise renommée de faute et de malheur. » De tout temps, on considère au Japon comme un grand déshonneur de survivre en captivité ; il est préférable de mourir.
Dans la guerre actuelle —contrairement aux temps anciens —on ne peut éviter, dans certains cas, d'être fait prisonnier ; on peut penser qu'il n'est pas absolument nécessaire de mourir dès que l'on a accompli son devoir avec les armes les plus modernes et que l'on est beaucoup plus utile à son pays en restant en vie et en accomplissant sa vocation —que ce soit dans la guerre ou dans la paix. Cette conception a son bien fondé, cependant, le soldat japonais pense autrement : S'il survit dans la honte de la captivité, cela signifie qu'il n'a pas combattu jusqu'à la mort, qu'il n'a pas eu la possibilité de poursuivre la lutte et regrette profondément de n'avoir pas combattu jusqu'à la mort pour le Tenno, la patrie et le peuple.
Que ce soit dans la mer ou l'eau baptise mon corps,
Que ce soit dans la campagne ou mes os
sont recouverts par la mousse des montagnes
—
Je ne veux combattre que pour le grand seigneur.
Sans jamais penser à moi.
Ce très ancien chant que nous entonnons toujours exprime que la survie du soldat est tout simplement inconcevable. Lord Nelson a dit juste avant sa mort : « Dieu soit loué, j'ai fait mon devoir ». En revanche, le Japonais ne combat pas a cause du devoir, mais pour sacrifier sa vie. Erwin Baiz, l'un des meilleurs spécialistes du Japon, raconte une expérience personnelle qu'il a faite à l'époque de la guerre russo-japonaise : « Un Japonais célèbre lui rendit visite avec son fils qui devait partir pour le front le matin suivant. Une fois que le jeune homme eut pris congé, le Dr Baiz s'entretint de la guerre avec le Japonais ; le vieil homme lui raconta qu'il avait perdu le plus âgé de ses fils quatre ans auparavant lors du soulèvement des Boxers et il envoyait maintenant le deuxième à la guerre. Il poursuivit en disant que son blason de famille porté avec honneur n'aura à présent aucun représentant puisqu'il n'a plus d'autres fils. Baiz lui dit en le consolant : « Tous ceux qui vont au front ne sont pas destinés a tomber ; je crois que votre fils reviendra avec une grande renommée militaire. » Le vieux père remua la tête et répliqua : « Non, mon fils va au combat pour trouver une mort héroïque, pas pour revenir en vie. » Erwin Baiz conclut que c'était là une parole sage, digne d'un philosophe.
Cette attitude seule explique que jusqu'à présent, le Japon n'ait perdu aucune guerre et a remporté des succès prodigieux dans l'actuelle guerre de la Grande Asie orientale. S'approcher dans de minuscules sous-marins de guerre de la flotte des Etats-Unis et couler ses navires constitue un acte méprisant la mort. En s'autodétruisant, les aviateurs japonais se considèrent comme une partie de leur charge et se précipitent sur l'ennemi pour devenir conformes à leur vocation. C'est cet esprit qui protège l'Empire japonais. Déjà en 1274 et 1281, cet esprit héroïque a permis à l'armée japonaise forte seulement de 50 000 hommes, de vaincre les Mongols largement supérieurs qui comptaient 150 000 hommes. C'est lui aussi qui fit remporter des victoires éclatantes dans la guerre russo-japonaise. Les soldats qui combattent aujourd'hui dans le grand Pacifique, sur terre, sur mer et dans les airs sont tous dominés par l'idée de se sacrifier pour la patrie et d'entrer dans les rangs des dieux.
Ceux qui nomment cet esprit « fatalisme » et voient en lui un mépris inconscient pour la précieuse vie humaine sont très loin de comprendre l'esprit militaire japonais. Les actes audacieux des soldats japonais sont précisément des manifestations de cet esprit énergique luttant pour l'existence et l'honneur de l'Empire, pour la justice et la paix véritable.
Ce serait également une erreur impardonnable de n'y voir qu'une marque de brutalité originelle. On connait l'amour du Japonais pour les fleurs ; son sens esthétique ne lui fait pas rechercher uniquement la fleur, mais il l'apprécie beaucoup plus dans son rapport organique avec les feuilles et les branches. Donc, il ne la coupe jamais mais la laisse sur sa branche. La civilisation japonaise a développé chez ses hommes non seulement un esprit de sacrifice élevé mais aussi une compassion pleine de sentiment. Cette dernière se manifeste dans l'attitude des soldats japonais face a l'ennemi, en particulier envers les prisonniers. Livrons un témoignage significatif datant du Moyen-Age : En 1 184, au cours d'une guerre civile acharnée, le fameux guerrier Kumagai défit un chevalier du camp ennemi, Atsumori, et lui coupa la tête conformément aux anciennes coutumes de guerre. Atsumori n'avait pas encore vingt ans et, affecté par sa mort précoce, Kumagai déposa l'épée, quitta la chevalerie et devint prêtre pour passer sa vie à prier pour le salut de l'âme du défunt.
Durant la Grande Guerre, les volontaires japonais qui servaient dans l'armée canadienne, réussirent à aller sur le front occidental ; parmi eux se trouvait le volontaire Isomura qui tomba sur un blessé allemand lors d'une attaque. Le blessé lui fit savoir par de faibles mouvements qu'il souffrait d'une soif atroce et, sans tarder, Isomura lui donna à boire de son bidon dans lequel se trouvait encore un peu d'eau précieuse. Entre-temps, un soldat britannique s'était approché et attaqua l'Allemand à la baïonnette ; Isomura s'y opposa et l'interpella : « Ne vois-tu pas que cet homme est gravement blessé ? » — « Eh alors », répliqua le Britannique, « blessé ou non — tout ennemi de plus qui est tué constitue un avantage pour nous. » « Où est donc ton amour Chrétien du prochain ? » « Je l'ai laissé à la maison lorsque je suis parti à la guerre », répondit le Britannique.
De même, le volontaire japonais Morooka qui attaquait à la baïonnette un très jeune adversaire, l'entendit crier « maman ! ». A cet instant, ayant reconnu le mot qu'il connaissait, il lui fut impossible d'attaquer pour la deuxième fois l'ennemi et celui-ci quoique blessé a été sauvé et ramené dans sa patrie.
Les Japonais considéraient comme une indignité d'être fait prisonnier ; cependant ils ont une profonde compassion pour les prisonniers qu'ils font eux-mêmes. Au cours de la guerre russo-japonaise, beaucoup de Russe faits prisonniers furent envoyés au Japon et ils se rappelèrent tous avec gratitude du traitement généreux qui leur fut accordé. Au Japon, on a de tout temps considéré comme une vertu d'adopter cette attitude envers l'ennemi blessé.
L'Histoire nous raconte que les Coréens ennemis participant à l' invasion mongole tombèrent entre les mains japonaise et ne méritèrent aucun traitement spécial. Ils ont trouvé toutefois un accueil bienveillant ; l'empereur de Corée s'est même vu obligé d'exprimer dans une lettre son remerciement pour cette conduite. De plus, on doit considérer que cette attaque mongole représenta un grand danger pour le Japon et pour son peuple. Dans la guerre russo-japonaise, la première division et la deuxième armée japonaises durent prendre soin des premiers prisonniers russes ; on ordonna aux soldats japonais de rendre visite aux prisonniers dans le dessein de les familiariser avec les uniformes, les insignes et les caractéristiques de l'adversaire. Cependant, des hommes d'une compagnie précise ne se présentèrent pas à l'inspection, pour la raison suivante : C'est une honte d'être fait prisonnier comme soldat et c'est insupportable de devoir se montrer ainsi à l'ennemi. Le samouraï comprend le sentiment d'un autre samouraï et lui épargne cette humiliation. C'est pour cette raison que les soldats ne participèrent pas à l'inspection des prisonniers russes. Les officiers ennemis qui donnèrent l'ordre de tuer tous les Japonais, même les prisonniers, ne pouvaient pas comprendre l'attitude des soldats japonais.
Sur l'une des scènes de l'actuelle guerre de la Grande Asie orientale, les Philippines, début Janvier, un certain nombre de civils japonais furent massacres par les troupes américaines ; de telles atrocités n'existent pas dans l'histoire du Japon.
Les Japonais combattent aujourd'hui pour leur patrie et pour tous les peuples de la Grande Asie orientale. Ils livrent un dur combat, rempli de sacrifices, où ils exigent le maximum d'eux-mêmes. Néanmoins, ils ont une profonde compassion pour le prochain et cette attitude lors des batailles suscitera de nombreux faits de guerre caractéristiques et frappants qui entreront dans l'histoire de la guerre, témoignant de l'esprit du Japon, du Yamato Tamashii.
Kazuichi Miura
Ce très ancien chant que nous entonnons toujours exprime que la survie du soldat est tout simplement inconcevable. Lord Nelson a dit juste avant sa mort : « Dieu soit loué, j'ai fait mon devoir ». En revanche, le Japonais ne combat pas a cause du devoir, mais pour sacrifier sa vie. Erwin Baiz, l'un des meilleurs spécialistes du Japon, raconte une expérience personnelle qu'il a faite à l'époque de la guerre russo-japonaise : « Un Japonais célèbre lui rendit visite avec son fils qui devait partir pour le front le matin suivant. Une fois que le jeune homme eut pris congé, le Dr Baiz s'entretint de la guerre avec le Japonais ; le vieil homme lui raconta qu'il avait perdu le plus âgé de ses fils quatre ans auparavant lors du soulèvement des Boxers et il envoyait maintenant le deuxième à la guerre. Il poursuivit en disant que son blason de famille porté avec honneur n'aura à présent aucun représentant puisqu'il n'a plus d'autres fils. Baiz lui dit en le consolant : « Tous ceux qui vont au front ne sont pas destinés a tomber ; je crois que votre fils reviendra avec une grande renommée militaire. » Le vieux père remua la tête et répliqua : « Non, mon fils va au combat pour trouver une mort héroïque, pas pour revenir en vie. » Erwin Baiz conclut que c'était là une parole sage, digne d'un philosophe.
Cette attitude seule explique que jusqu'à présent, le Japon n'ait perdu aucune guerre et a remporté des succès prodigieux dans l'actuelle guerre de la Grande Asie orientale. S'approcher dans de minuscules sous-marins de guerre de la flotte des Etats-Unis et couler ses navires constitue un acte méprisant la mort. En s'autodétruisant, les aviateurs japonais se considèrent comme une partie de leur charge et se précipitent sur l'ennemi pour devenir conformes à leur vocation. C'est cet esprit qui protège l'Empire japonais. Déjà en 1274 et 1281, cet esprit héroïque a permis à l'armée japonaise forte seulement de 50 000 hommes, de vaincre les Mongols largement supérieurs qui comptaient 150 000 hommes. C'est lui aussi qui fit remporter des victoires éclatantes dans la guerre russo-japonaise. Les soldats qui combattent aujourd'hui dans le grand Pacifique, sur terre, sur mer et dans les airs sont tous dominés par l'idée de se sacrifier pour la patrie et d'entrer dans les rangs des dieux.
Ceux qui nomment cet esprit « fatalisme » et voient en lui un mépris inconscient pour la précieuse vie humaine sont très loin de comprendre l'esprit militaire japonais. Les actes audacieux des soldats japonais sont précisément des manifestations de cet esprit énergique luttant pour l'existence et l'honneur de l'Empire, pour la justice et la paix véritable.
Ce serait également une erreur impardonnable de n'y voir qu'une marque de brutalité originelle. On connait l'amour du Japonais pour les fleurs ; son sens esthétique ne lui fait pas rechercher uniquement la fleur, mais il l'apprécie beaucoup plus dans son rapport organique avec les feuilles et les branches. Donc, il ne la coupe jamais mais la laisse sur sa branche. La civilisation japonaise a développé chez ses hommes non seulement un esprit de sacrifice élevé mais aussi une compassion pleine de sentiment. Cette dernière se manifeste dans l'attitude des soldats japonais face a l'ennemi, en particulier envers les prisonniers. Livrons un témoignage significatif datant du Moyen-Age : En 1 184, au cours d'une guerre civile acharnée, le fameux guerrier Kumagai défit un chevalier du camp ennemi, Atsumori, et lui coupa la tête conformément aux anciennes coutumes de guerre. Atsumori n'avait pas encore vingt ans et, affecté par sa mort précoce, Kumagai déposa l'épée, quitta la chevalerie et devint prêtre pour passer sa vie à prier pour le salut de l'âme du défunt.
Durant la Grande Guerre, les volontaires japonais qui servaient dans l'armée canadienne, réussirent à aller sur le front occidental ; parmi eux se trouvait le volontaire Isomura qui tomba sur un blessé allemand lors d'une attaque. Le blessé lui fit savoir par de faibles mouvements qu'il souffrait d'une soif atroce et, sans tarder, Isomura lui donna à boire de son bidon dans lequel se trouvait encore un peu d'eau précieuse. Entre-temps, un soldat britannique s'était approché et attaqua l'Allemand à la baïonnette ; Isomura s'y opposa et l'interpella : « Ne vois-tu pas que cet homme est gravement blessé ? » — « Eh alors », répliqua le Britannique, « blessé ou non — tout ennemi de plus qui est tué constitue un avantage pour nous. » « Où est donc ton amour Chrétien du prochain ? » « Je l'ai laissé à la maison lorsque je suis parti à la guerre », répondit le Britannique.
De même, le volontaire japonais Morooka qui attaquait à la baïonnette un très jeune adversaire, l'entendit crier « maman ! ». A cet instant, ayant reconnu le mot qu'il connaissait, il lui fut impossible d'attaquer pour la deuxième fois l'ennemi et celui-ci quoique blessé a été sauvé et ramené dans sa patrie.
Les Japonais considéraient comme une indignité d'être fait prisonnier ; cependant ils ont une profonde compassion pour les prisonniers qu'ils font eux-mêmes. Au cours de la guerre russo-japonaise, beaucoup de Russe faits prisonniers furent envoyés au Japon et ils se rappelèrent tous avec gratitude du traitement généreux qui leur fut accordé. Au Japon, on a de tout temps considéré comme une vertu d'adopter cette attitude envers l'ennemi blessé.
L'Histoire nous raconte que les Coréens ennemis participant à l' invasion mongole tombèrent entre les mains japonaise et ne méritèrent aucun traitement spécial. Ils ont trouvé toutefois un accueil bienveillant ; l'empereur de Corée s'est même vu obligé d'exprimer dans une lettre son remerciement pour cette conduite. De plus, on doit considérer que cette attaque mongole représenta un grand danger pour le Japon et pour son peuple. Dans la guerre russo-japonaise, la première division et la deuxième armée japonaises durent prendre soin des premiers prisonniers russes ; on ordonna aux soldats japonais de rendre visite aux prisonniers dans le dessein de les familiariser avec les uniformes, les insignes et les caractéristiques de l'adversaire. Cependant, des hommes d'une compagnie précise ne se présentèrent pas à l'inspection, pour la raison suivante : C'est une honte d'être fait prisonnier comme soldat et c'est insupportable de devoir se montrer ainsi à l'ennemi. Le samouraï comprend le sentiment d'un autre samouraï et lui épargne cette humiliation. C'est pour cette raison que les soldats ne participèrent pas à l'inspection des prisonniers russes. Les officiers ennemis qui donnèrent l'ordre de tuer tous les Japonais, même les prisonniers, ne pouvaient pas comprendre l'attitude des soldats japonais.
Sur l'une des scènes de l'actuelle guerre de la Grande Asie orientale, les Philippines, début Janvier, un certain nombre de civils japonais furent massacres par les troupes américaines ; de telles atrocités n'existent pas dans l'histoire du Japon.
Les Japonais combattent aujourd'hui pour leur patrie et pour tous les peuples de la Grande Asie orientale. Ils livrent un dur combat, rempli de sacrifices, où ils exigent le maximum d'eux-mêmes. Néanmoins, ils ont une profonde compassion pour le prochain et cette attitude lors des batailles suscitera de nombreux faits de guerre caractéristiques et frappants qui entreront dans l'histoire de la guerre, témoignant de l'esprit du Japon, du Yamato Tamashii.
Kazuichi Miura
Partout et toujours, l'exemple vivant constituera la meilleure éducation.
Adolf Hitler
dimanche 22 novembre 2020
vendredi 20 novembre 2020
José Antonio Primo de Rivera (1903-1936), Devant la Dissolution de la Patrie (Dernier Manifeste de José Antonio, 17/VII/1936).
Un groupe d'Espagnols, les uns soldats, les autres civils, ne veulent pas assister a la dissolution totale de la Patrie, Ils se lèvent aujourd'hui contre un gouvernement traître, inepte, cruel et injuste qui la conduit à la ruine.
Nous avons supporté cinq mois d'opprobre. Une espèce de bande factieuse s'est rendue maîtresse du pouvoir. Depuis son avènement, il n'y a plus une heure de tranquillité, un foyer respecté, un travail sûr, une vie garantie. Tandis qu'une collection d'énergumènes, incapables de travailler, vocifère à la Chambre, les maisons sont profanées par la Police (quand elles ne sont pas incendiées par la tourbe), les églises saccagées, les gens de bien emprisonnés par caprice pour un temps illimité; la loi use de deux poids inégaux: l'un pour les hommes du Front Populaire, l'autre pour ceux qui n'y militent pas; l'Armée, la Flotte, la Police, sont minées par des agents de Moscou, ennemis jurés de la civilisation espagnole; une Presse indigne empoisonne la conscience populaire et cultive les pires passions, de la haine à l'impudeur; il n'y a pas un village, pas une maison qui ne soient convertis en un enfer de rancœurs; on stimule les mouvements séparatistes; la faim augmente et, pour que rien ne manque afin que le spectacle atteigne son caractère le plus sombres, des agents du gouvernement, ont assassiné à Madrid un illustre espagnol qui avait confiance dans l'honneur et la fonction publique de ceux qui le conduisaient. La férocité canaille de ce dernier exploit n'a pas d'égale dans l'Europe moderne et peut être confrontée avec les pages les plus noires de la tchèka russe.
Tel est le spectacle de notre Patrie à l'heure juste où les circonstances du monde l'appellent à accomplir de nouveau un grand destin. Les valeurs fondamentales de la civilisation espagnole reprennent, après des siècles d'éclipsé, leur antique autorité, tandis que d'autres peuples qui mirent leur foi en un progrès matériel fictif voient minute par minute décliner leur étoile. Devant notre vieille Espagne missionnaire et militaire, terrienne et maritime, s'ouvrent des chemins splendides. C'est de nous, Espagnols, que dépendra le fait de les parcourir, de ce que nous serons unis et en paix avec nos âmes et nos corps tendus dans l'effort commun de faire une grande Patrie. Une grande Patrie pour tous et rien pour un groupe de privilégiés. Une Patrie grande, unie, libre, respectée et prospère. Pour lutter pour elle, nous rompons aujourd'hui ouvertement avec les forces ennemies qui la tiennent prisonnière. Notre rébellion est un acte de service à la cause espagnole.
Si nous aspirions à remplacer un parti par un autre, une tyrannie par une autre, le courage —propre aux âmes pures— de risquer cette décision suprême nous manquerait. Il n'y aurait pas non plus pour nous des hommes portant les uniformes glorieux de l'Armée, de la Marine, de l'Aviation, de la Garde civile, ils savent que leurs armes ne peuvent pas être employées au service d'une bande, mais à celui du maintien de l'Espagne qui est ce qui est en péril. Notre triomphe ne sera pas celui d'un groupe réactionnaire et ne représentera pour le peuple la perte d'aucun avantage. Au contraire, notre œuvre sera une œuvre nationale qui saura élever les conditions de vie du peuple —vraiment épouvantables dans certaines régions— et le fera prendre part à la fierté d'un grand destin recouvré.
Travailleurs, paysans, intellectuels, soldats, marins, gardiens de notre Patrie, secouez la résignation devant le tableau de son écroulement et venez avec nous pour l'Espagne une, grande et libre! Dieu nous aide; ¡Arriba España!
Nous avons supporté cinq mois d'opprobre. Une espèce de bande factieuse s'est rendue maîtresse du pouvoir. Depuis son avènement, il n'y a plus une heure de tranquillité, un foyer respecté, un travail sûr, une vie garantie. Tandis qu'une collection d'énergumènes, incapables de travailler, vocifère à la Chambre, les maisons sont profanées par la Police (quand elles ne sont pas incendiées par la tourbe), les églises saccagées, les gens de bien emprisonnés par caprice pour un temps illimité; la loi use de deux poids inégaux: l'un pour les hommes du Front Populaire, l'autre pour ceux qui n'y militent pas; l'Armée, la Flotte, la Police, sont minées par des agents de Moscou, ennemis jurés de la civilisation espagnole; une Presse indigne empoisonne la conscience populaire et cultive les pires passions, de la haine à l'impudeur; il n'y a pas un village, pas une maison qui ne soient convertis en un enfer de rancœurs; on stimule les mouvements séparatistes; la faim augmente et, pour que rien ne manque afin que le spectacle atteigne son caractère le plus sombres, des agents du gouvernement, ont assassiné à Madrid un illustre espagnol qui avait confiance dans l'honneur et la fonction publique de ceux qui le conduisaient. La férocité canaille de ce dernier exploit n'a pas d'égale dans l'Europe moderne et peut être confrontée avec les pages les plus noires de la tchèka russe.
Tel est le spectacle de notre Patrie à l'heure juste où les circonstances du monde l'appellent à accomplir de nouveau un grand destin. Les valeurs fondamentales de la civilisation espagnole reprennent, après des siècles d'éclipsé, leur antique autorité, tandis que d'autres peuples qui mirent leur foi en un progrès matériel fictif voient minute par minute décliner leur étoile. Devant notre vieille Espagne missionnaire et militaire, terrienne et maritime, s'ouvrent des chemins splendides. C'est de nous, Espagnols, que dépendra le fait de les parcourir, de ce que nous serons unis et en paix avec nos âmes et nos corps tendus dans l'effort commun de faire une grande Patrie. Une grande Patrie pour tous et rien pour un groupe de privilégiés. Une Patrie grande, unie, libre, respectée et prospère. Pour lutter pour elle, nous rompons aujourd'hui ouvertement avec les forces ennemies qui la tiennent prisonnière. Notre rébellion est un acte de service à la cause espagnole.
Si nous aspirions à remplacer un parti par un autre, une tyrannie par une autre, le courage —propre aux âmes pures— de risquer cette décision suprême nous manquerait. Il n'y aurait pas non plus pour nous des hommes portant les uniformes glorieux de l'Armée, de la Marine, de l'Aviation, de la Garde civile, ils savent que leurs armes ne peuvent pas être employées au service d'une bande, mais à celui du maintien de l'Espagne qui est ce qui est en péril. Notre triomphe ne sera pas celui d'un groupe réactionnaire et ne représentera pour le peuple la perte d'aucun avantage. Au contraire, notre œuvre sera une œuvre nationale qui saura élever les conditions de vie du peuple —vraiment épouvantables dans certaines régions— et le fera prendre part à la fierté d'un grand destin recouvré.
Travailleurs, paysans, intellectuels, soldats, marins, gardiens de notre Patrie, secouez la résignation devant le tableau de son écroulement et venez avec nous pour l'Espagne une, grande et libre! Dieu nous aide; ¡Arriba España!
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