mardi 19 avril 2016

« Adolf a toujours voulu le meilleur pour l’Allemagne ! » 
Paula Hitler (28 décembre 1957)




En ce 20 avril, jour du 127e anniversaire du personnage le plus important de l’histoire de l’humanité, quel meilleur hommage pouvons-nous lui rendre que de publier à nouveau le message adressé par sa petite sœur Paula aux hyènes de la presse allemande qui s’étaient permis de couvrir sa mémoire de leurs habituelles déjections à l’occasion de l’anniversaire de son sacrifice, le 30 avril 1957.


Messieurs !

N’oubliez jamais ceci. Vos noms seront oubliés depuis longtemps bien avant que vos corps aient pourri dans la terre. Mais le nom d’Adolf Hitler sera toujours une lumière dans les ténèbres.

V
ous ne pourrez jamais le tuer en noyant sa mémoire dans vos seaux d’aisance et vous ne pourrez pas l’étrangler avec vos petits doigts pleins d’encre. Son nom existe toujours dans des centaines de milliers d’âmes. Vous êtes bien trop insignifiants, ne serait-ce que pour l’atteindre.


Il aima l’Allemagne. Il s’inquiéta pour l’Allemagne. Quand il combattit pour l’honneur et le respect, c’était pour l’honneur de l’Allemagne et quand il ne resta plus rien, il donna sa vie pour l’Allemagne
.


Qu’avez-vous donné de tel ? Lequel d’entre vous donnerait sa vie pour l’Allemagne ? Les seules choses qui vous préoccupent sont les richesses, le pouvoir et le luxe éternels. Quand vous pensez à l’Allemagne, vous pensez vous permettre de tels sentiments sans responsabilité, sans préoccupation ?

Croyez-moi pour cela : le Führer n’a jamais été égoïste en paroles et en actes, ce qui garantit son immortalité. Le fait est que l’âpre combat pour la grandeur de l’Allemagne n’a pas été couronné de succès, comme celui de Cromwell en Angleterre, ce qui a un rapport avec la mentalité du peuple concerné.

D’un côté, le caractère de l’Anglais est essentiellement déloyal, guidé par la jalousie et l’égo et un manque de compassion. Mais il n’oublie jamais qu’il est un Anglais, loyal à son peuple et à sa couronne. De l’autre côté, l’Allemand avec sa soif de reconnaissance n’est jamais un Allemand avant tout.

Par conséquent, cela ne vous préoccupe pas, vous, créatures insignifiantes, si vous détruisez la nation tout entière. La seule chose qui vous guide sera toujours : moi d’abord, moi ensuite, moi enfin.

Dans votre médiocrité, vous ne penserez jamais au bien-être de la nation.

Et c’est avec cette philosophie pitoyable que vous voulez entraver l’immortalité d’un géant ?!!!

Paula Hitler
, Berchtesgaden , 1er mai 1957.




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Paula Hitler est née le 21 janvier 1896, en Autriche, moins de sept ans après son frère, et est décédée à Berchtesgaden, le 1er juin 1960. À l’occasion des jeux olympiques de 1936, le Führer lui demanda, par souci de discrétion, de changer son nom en « Wolf », le patronyme qu’il utilisa lui-même dans les années vingt ainsi que pour nommer tous ses lieux de combat (Wolfsschlucht, Wolfschanze, Wehrwolf,…).

Active dans un hôpital militaire jusqu’à la fin de la guerre, elle fut arrêtée par les Américains qui la
privèrent de ses avoirs bancaires et immobiliers (un petit appartement de deux pièces à Vienne ; les Russes s’étaient, quant à eux, déjà emparés de sa maison dans la campagne autrichienne). Le tribunal de dénazification dut rapidement la libérer, vu son absence de toute activité politique sous le IIIe Reich.

Elle vivra désormais dans la pauvreté à Berchtesgaden, près des ruines du Berghof  et dans la fidélité à la mémoire de son frèretoujours sous le nom de «Wolf», aidée par les associations d’anciens combattants.

Paula mourut dans sa 65e année et fut enterrée au Bergfriedhof de Berchtesgaden. Sa tombe, sommée d’une croix en bois, portait son nom « Paula Hitler ». Il disparut en 2005 sous la plaque portant le nom du couple (Cornelia et Hermann Reif) qui s’occupa de son entretien.





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